Intégrer un logiciel GED et un logiciel de Workflow.
Quels sont les risques ?

Pour répondre au besoin du métier, la DSI propose souvent comme solution l’intégration d’un logiciel de GED et d’un logiciel de BPM pour les workflows. Quels sont les risques de cette solution qui parait de prime abord idéale ?

1er risque : intégration

Ce risque est important, et ceux qui sont expérimentés sur ce type de projet le savent, l’intégration de deux briques logicielles est toujours un défi majeur dans un projet.

Ce risque est lié au fait que la brique de GED est conçue pour fonctionner d’une certaine manière et il en est de même pour la brique de workflow. Ainsi en intégrant l’une à l’autre, vous êtes déjà dans un fonctionnement particulier (prévu ou non par l’éditeur).

Ensuite, il faut réaliser l’intégration selon le besoin métier, et là ça se complique franchement. Vous aurez deux solutions :

  • restreindre le besoin du métier aux fonctionnalités nées de cette intégration ;
  • tordre chacune des briques (et éventuellement développer spécifiquement certaines features) pour correspondre complétement au besoin métier.

De plus :

  • est-ce que la solution née de cette intégration est ergonomique ?
  • permet-elle des gains de performance ?
  • sera-t-elle adoptée par les utilisateurs ?

Pour finir, quid de la maintenance de cette intégration ? Lorsque l’une des briques va publier une version de maintenance, il faudra également vérifier la non régression de cette intégration. Ici il y a 3 postes de maintenance :

  • brique GED ;
  • brique Workflow ;
  • intégration.

Nous reviendrons prochainement vers vous avec d’autres risques liés à ce type d’intégration et si vous souhaitez d’ores et déjà en savoir plus, n’hésitez pas à nous contacter. Évidemment, si vous souhaitez éviter ce type de risque, nous vous recommandons de vous orienter vers une solution, où ces briques ont été intégrées dès la conception et ce par un seul et même éditeur, telle qu’Anakeen Platform.